Le 6 avril 2024, on apprend qu’une magistrate a été placée pendant quelques jours en détention provisoire.
Mme Hélène GERHARDS, magistrate à la cour d’appel d’Agen (Lot-et-Garonne) a été emprisonnée du 6 avril au 10 avril 2024. Ses collègues soupçonnent cette magistrate d’avoir commis plusieurs infractions (faux en écriture publique par un dépositaire de l’autorité publique ; détournements de fonds publics par une personne dépositaire de l’autorité publique, etc. ; en tout, onze infractions).
Selon les médias, il n’y a eu que quatre magistrats placés en détention provisoire depuis l’an 2000.
Source (site web) : [https://]www.lefigaro.fr (article du 06/04/2024 à 13h56)
Placer une magistrate en détention provisoire, c’est bien.
Enquêter sur les procédés douteux de la direction interrégionale de l’administration pénitentiaire, c’est mieux.
Dans les copropriétés banalisées de cette administration, avenue Léon Blum à Maisons-Alfort, des citoyens subissent continûment des infractions criminelles ou correctionnelles (garde-à-vue de six mois ; irradiation par rayonnements électromagnétiques ; procès truqués en cascade ; pièces comptables artistiques ; vandalisme sur la voiture ; lettres de menaces de sociétés de recouvrement) et divers désagréments (appels téléphoniques intempestifs ; bip de parking capricieux). Il est temps qu’un tribunal sanctionne ces comportements.
