Du 28 octobre 2019 au 8 novembre 2019, à Aix-en-Provence, la cour d’assises des Bouches-du-Rhône jugera une affaire d’assassinat en bande organisée.
L’accusé aurait assassiné un de ses collègues du grand banditisme le 23 avril 2008. Il est aussi un « repenti », c’est-à-dire qu’il a accepté de coopérer avec la justice, dénonçant ainsi d’autres collègues. « En France, depuis 2014, la loi Perben II permet aux repentis de changer d’identité et de vivre sous la protection de la justice. »
S’il est reconnu coupable, la cour d’assises va-t-elle lui accorder des circonstances atténuantes, en contrepartie de sa coopération ?
Source : journal « Le Monde » daté du 27-28 octobre 2019 (page 11)
Où habitent donc ces gens qui « changent d’identité » et qui vivent « sous la protection de la justice », au détriment des citoyens ordinaires qui n’y peuvent rien ? Avenue Léon Blum, au n° 10, ou au n° 14 ? Rue Médéric, au n° 39 ? Avenue Victor Hugo, au n° 58 ?