Samedi 29 juin 2024, vers 19 heures, la voiture que j’utilise, garée dans le parking souterrain, est encore intacte.
Dimanche 30 juin 2024, premier tour des élections législatives. Vers 13 heures, je vais au bureau de vote, en passant par le parking. L’un des essuie-glaces de la voiture a été arraché.
Habituellement, des petites dégradations comme celle-ci sont organisées dans cet immeuble juste avant l’assemblée générale de copropriété, afin de chauffer la salle. Mais en 2024, l’assemblée générale a déjà eu lieu (le 11 juin), en formation restreinte grâce aux votes par correspondance.
Cette fois-ci, il ne s’agit donc pas de manipuler les débats de l’assemblée générale de copropriété. Ce vandalisme sur la voiture d’un seul copropriétaire vise un autre objectif, non connu pour le moment. Peut-être un avertissement, pour inciter les électeurs à ne pas se tromper et à réélire le bon candidat ?
Ce n’est pas la première fois que cette voiture est vandalisée dans le parking souterrain de la copropriété.