Mercredi 7 octobre 2015, vers 20h35, je croise sur le palier du premier étage l’un des voisins, commissaire de police. Je saisis l’occasion de lui demander s’il envisage d’enquêter au sujet des pneus crevés le 5 mai 2015 (dans un parking clos, couvert et surveillé par les gardiens), puisque ma voiture est garée à quelques mètres de la sienne. Le commissaire n’est pas enthousiasmé par ma suggestion et quitte rapidement les lieux : sa voiture ne risque rien, dirait-on, et la police n’enquête sur les actes de délinquance que si ça ne contrarie pas la justice. |