TORTURE ÉLECTROMAGNÉTIQUE – ONDES HERTZIENNES
En guise d’introduction au thème des ondes hertziennes et de la torture électro-magnétique…
…des extraits d’ouvrages destinés au grand public. Ces livres, dont le plus ancien a trente-neuf ans, gardent donc une trace de ce que tout le monde savait déjà à leur date de publication.
Les fonctions physiologiques sont contrôlées par des aires cérébrales localisées (1865). Le système nerveux central réagit aux stimulations électriques (1995), à certains médicaments (2010).
Et très certainement aux ondes hertziennes : si la stimulation électrique peut être provoquée par des électrodes en contact avec les zones à stimuler, elle peut aussi être provoquée par des ondes radioélectriques, puisque celles-ci induisent un courant électrique dans les objets qu’elles traversent.
Ce qui est, apparemment, très avantageux : le patient (ou le cobaye humain) ne souffre pas.
Apparemment…
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François DE CLOSETS, Scénarios du futur, © Ed. Denoël, 3ème trim. 1979 [p. 40-41]
[demande d’autorisation du 15/09/2014 – en attente]
Commentaire de l’extrait du livre :
Toujours en tête du peloton, lorsqu’il s’agit de faire des expériences sur des cobayes humains, les pays germanophones nous montrent que, dès 1979, des expérimentations réalisées afin de neutraliser, « dans un but thérapeutique » bien sûr, les fonctions neuro-végétatives contrôlées par le complexe hypothalamique.
L’étape suivante consistait à éviter le processus primitif de la « fraise d’acier ou trépan », et les ondes hertziennes allaient devenir la technique idéale.
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Jean-Louis JUAN DE MENDOZA, Cerveau gauche, cerveau droit, Collection Dominos (n° 58), éd. Flammarion, fév. 1995 [p. 19] [p. 26] [demande d’autorisation du 17/06/2013 – en attente]
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Jacques POIRIER, Le système nerveux, Collection Dominos (n° 164), éd. Flammarion, fév. 1998 [p. 21]
L’auteur rappelle une citation de Gustave FLAUBERT : « Nerveux – Se dit chaque fois que l’on ne comprend rien à une maladie ».
[demande d’autorisation du 17/06/2013 – en attente]
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Bernard PASCIUTTO, Célébrités – 16 morts étranges, © Ed. l’Archipel, juin 2010
[autorisation accordée le 28/06/2013 par l’éditeur]
p. 211-233 – Michael JACKSON ? ~ 29/08/1958 – ? 25/06/2009 (50 ans)
[Le chanteur serait mort pour avoir consommé trop de produits médicamenteux]
[p. 216]
« (…) Le 21 juin, soit quatre jours avant la mort du chanteur, Cherilyn Lee (a) reçoit un appel d’une personne proche de l’artiste qui désire la voir immédiatement. Son interlocuteur était très agité, raconte-t-elle. « Je pouvais entendre Michael disant : « Un côté de mon corps est chaud, vraiment chaud, et l’autre côté est froid, très froid. » A ce moment de la conversation, je savais que quelqu’un lui avait donné quelque chose qui agit sur le système nerveux central. » (…) »
(a) Cherilyn Lee : la nutritionniste du chanteur
Ainsi, en 2009, aux États-Unis, des personnes bien informées, plus compétentes que certains neurologues du 13ème arrondissement, savaient que lorsqu’un patient ressent des sensations dissymétriques (« un côté chaud, l’autre côté froid »), cela provient de médicaments ou « de quelque chose qui agit sur le système nerveux central ».
Ce « quelque chose » n’est pas forcément un médicament.
Contrairement à ce qu’affirment les nervis du lobby militaro-judiciaire, et leurs domestiques médicaux de l’A.P.-H.P., dont certains ne sont pas inscrits à l’Ordre des médecins, cela n’a aucun rapport avec « des problèmes psychiatriques irréversibles ».
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Pour savoir si votre logement est irradié par des rayonnement radio-électriques,
vous pouvez bien sûr vous procurer des appareils de détection : les prix ont baissé ces cinq dernières années.
Vous pouvez aussi faire le « test de la brillantine », qui coûte moins cher.
Le test consiste à se masser les cheveux pendant trois minutes avec une lotion cosmétique quelconque (il peut bien sûr s’agir d’un autre produit que la brillantine ; l’important n’est pas le produit lui-même, mais le fait de frictionner les cheveux ; bien que ce soit peu agréable, on peut même frictionner sans produit). Puis vous observez ce qui se passe :
- Il ne se passe rien. Dans ce cas, le test ne permet pas conclure.
- Vous avez le souffle coupé, et vous êtes obligé de vous asseoir pendant dix minutes, afin de reprendre votre respiration, comme un vieillard de quatre-vingt-dix ans qui vient de monter un escalier. Si vous constatez d’autres inconvénients (troubles du sommeil ; sensation dissymétrique de chaud-froid ; etc.), vous pouvez en déduire que votre logement est très certainement irradié. À moins d’admettre que frictionner les cheveux serait un exploit sportif d’une extrême difficulté.
Renouvelez alors l’expérience dans un autre logement (chez des amis, à l’hôtel), et observez ce qui se passe.- b1) Il ne se passe rien : vous pouvez en déduire que frictionner les cheveux vous épuise seulement à votre domicile. Ce qui est tout de même fort curieux. Si les autres désagréments (troubles du sommeil ; sensation dissymétrique de chaud-froid ; etc.) cessent également, il doit y avoir un sérieux problème dans votre logement.
- b2) Vous avez le souffle coupé : il se peut que le logement de vos amis soit irradié lui aussi. Si vous pouvez résider plusieurs jours dans ce logement, vérifiez si les autres désagréments sont perceptibles.
Pièces jointes :