Mercredi 11 mai 2016, à 18 heures, sur la D 619 (ex – RN 19), dans une forêt entre Marnay-sur-Marne et Vesaignes, une flottille de la gendarmerie, pilotée par le véhicule 20510100, arrive soudainement, afin de surveiller les chablis et les arbrisseaux du petit bois. Il est bien sûr plus facile de surveiller des bosquets et des buissons que de s’occuper du Bataclan, ou des dégradations de biens commises sur des véhicules garés à Maisons-Alfort, à trois cents mètres de la caserne de la rue Busteau.
Ma propre voiture est garée dans le garage souterrain, clos et couvert, d’une copropriété de Maisons-Alfort, où résident des fonctionnaires de police et de gendarmerie, mais aussi des fonctionnaires de justice et leurs protégés sous contrôle judiciaire. Ce garage est surveillé en permanence par les gardiens et les membres du conseil syndical, mais aussi par les habitants de l’immeuble. Il est vraiment dommage que la gendarmerie n’ait pas le temps d’enquêter au sujet des dégradations subies par ma voiture dans la journée du 5 mai 2015 (les pneus avant ont été crevés, heureuse coïncidence, le jour où les copropriétaires ont reçu la convocation à l’assemblée générale annuelle).