Dans son numéro de juillet-août 2020, la revue « Billets d’Afrique » rapporte que plusieurs journalistes ont été emprisonnés au Cameroun. L’un d’eux est mort en 2019. Cette revue, mais aussi plusieurs associations qui défendent les droits de l’Homme, estiment que ces journalistes camerounais sont des prisonniers politiques, emprisonnés à cause de leurs convictions personnelles.
Source : Billets d’Afrique et d’ailleurs – n° 299 (juillet-août 2020 – page 12)
(et aussi) site web : [http://]www.survie.org
Ce qui explique, peut-être, que les ressortissants de ce pays viennent s’abriter en France, et, le 23 mars 2004, négocient un emploi décoratif à l’A.P.-H.P. et un titre de séjour contre une attestation médicale mensongère, au sens de l’article 441-4 du code pénal.
Est-il normal que des racailles, rémunérées par un hôpital dont le fonctionnement est financé par les contribuables, acceptent de rédiger des actes médicaux de complaisance (le faux en écritures est une infraction pénale), d’injecter de force des produits toxiques à des cobayes humains (les actes dégradants constituent une infraction pénale), comme le faisaient les médecins allemands de 1939 à 1945, et d’être complices d’une garde à vue de six mois (la séquestration est une infraction pénale) ?