LES INTERNAUTES DONNENT LEUR OPINION
Un site web présente des données statistiques concernant des villes de France, et invite les internautes à donner leur avis sur la qualité de vie dans les villes où ils résident. Voici (parmi 67 avis répertoriés sur ce site web) dix témoignages d’internautes au sujet de Maisons-Alfort, échelonnés de février 2016 à mai 2017.
a) Dans un avis du 10 février 2016, une habitante du quartier « Vert-de-Maisons » se déclare plutôt satisfaite, par ce qu’elle « habite depuis 45 ans dans ce quartier pavillonnaire et agréable à vivre », qu’elle est une ancienne élève de l’école Jules Ferry, que « l’usine de levure ne sent pas si mauvais que ça » et parce que « si les impôts sont pas chers c’est un peu grâce à cette usine ».
[nota : le quartier « Vert-de-Maisons » est situé entre l’usine de levure et la limite communale avec Créteil et comporte, de part et d’autre de l’école primaire Jules Ferry, un quartier pavillonnaire ainsi qu’un groupe d’immeubles dénommé « cité Liberté »]
Autrement dit, ce n’est pas trop grave que les effluves de l’usine soient malodorantes, puisque les impôts sont moins élevés qu’à Alfortville.
b) Dans un avis du 26 avril 2016, une autre habitante de ce quartier est moins enthousiaste et il vaut mieux citer son texte (sans retoucher la typographie) plutôt que le dénaturer en tentant de le résumer.
« C’est une catastrophe depuis que le Maire Herbillon a décidé de construire un parc dans la cité de Liberté au lieu de créer des emplois par l’installation d’entreprises à cet endroit. Les conséquences aujourd’hui trafic de stupéfiants en croissance et les habitants sont inondés de rats et Monsieur Herbillon répond à ses habitants que les rats sont là aussi pour vivre avec eux car la majorité des personnes du vert de maisons sont issues de l’immigration et de la classe ouvrière alors Monsieur Le Maire ne s’inquiète pas de leur sort. Les habitants du vert de Maisons se sont mobilisés et comptent bien engager des démarches. Les oubliés du sud de Maisons-Alfort »
[Nota : au printemps 2016, les services d’hygiène du conseil départemental étaient en effet venus photographier les rats qui se promenaient dans les rues de ce quartier ; depuis, les rats ont émigré à Paris, à l’angle du boulevard Richard-Lenoir et de l’avenue de la République]
Voilà au moins une habitante de cette commune qui n’est pas satisfaite de la qualité de vie qui lui est proposée.
c) Dans un avis du 5 août 2016, une internaute estime que Maisons-Alfort est une « ville-dortoir, très pratique mais [sans] aucun charme ». Elle ajoute : « Installée depuis 4 ans en venant de Paris intra-muros, je le déconseille totalement même si ville bien desservie par le métro, les routes, plein de centres commerciaux aux alentours. J’avais mal évalué l’ambiance et je m’étais fiée à la réputation calme de la ville et son aspect propre. »
« Je ne me sens pas en danger mais sans cesse regardée par les commerçants, les voisins même s’ils sont gentils. Je suis très loin de l’anonymat de Paris que je pensais garder dans une ville de banlieue parisienne si près de Paris. »
« J’ai essayé de m’intégrer en faisant des activités mais je ne m’attendais pas à un tel décalage (à l’aquagym, 2 femmes de moins de 40 ans sur 12 ne savaient pas nager, une femme n’était jamais allée au théâtre à 30 ans). »
« Donc Maisons-Alfort c’est pour dormir, les courses alimentaires, la poste, de l’utilitaire bien pratique, il faut le reconnaître, et sinon pour tout le reste (vie sociale, culturelle…) c’est métro direction Paris !! »
[Nota : il y a cinq bureaux de poste à Maisons-Alfort]
En effet, l’ambiance n’est pas du tout celle de Paris, ou d’une ville de cinquante-quatre mille habitants, mais vraiment celle d’un chef-lieu de canton. Non seulement les commerçants ne sont pas tous « très gentils », mais leur mission est effectivement de « regarder » attentivement les nouveaux venus, afin d’évaluer leur compatibilité avec le système local. Et il est impossible de deviner les particularités de cette ville de garnison en « se fiant au calme de la ville et à la propreté des rues ». C’est la vie quotidienne dans votre copropriété (menaces quotidiennes du gardien qui exige les clés de l’appartement ; voisins agressifs qui vandalisent quotidiennement votre voiture dans le parking souterrain de l’immeuble et vous font des procès truqués avec faux témoignages et pièces comptables falsifiées ; garde-à-vue de six mois ; etc.) qui vous permet de découvrir la véritable ambiance de Maisons-Alfort.
[Nota : une garde à vue de six mois est une infraction criminelle ; les auteurs de l’infraction doivent être jugés par une cour d’assises]
Pour être « intégré » dans la vie locale, plutôt que de faire de l’aquagym, il vaut mieux exercer la même profession que la majorité des habitants de Maisons-Alfort (fonctionnaire de l’État en activité ou retraité) ; sinon, vous êtes un gêneur.
d) Dans un avis du 5 août 2016, un internaute estime que c’est une « ville très pratique mais totalement morte. Banlieue à la sociologie assez ambivalente. Tout le monde a l’air de passage, par défaut, pour les commodités (métro, routes…) ».
« On ne peut absolument pas sortir à Maisons Alfort. Quand des amis viennent me voir, c’est un casse-tête pour trouver un restaurant où l’ambiance n’est pas glauque (quartier école vétérinaire). Je ne recommande pas à des parisiens de venir, à moins de planifier de fonder une famille le mois suivant (très bons hôpitaux) sinon gros décalage social qui me surprend encore maintenant. »
Et cet internaute conclut : « pratique, je ne peux pas dire le contraire mais je n’ai qu’un seul but: partir ! »
La sociologie de cette ville-dortoir est incontestablement « ambivalente » : policiers, magistrats, militaires, agents des impôts, souvent mariés entre eux. Celui qui a les moyens financiers (dans l’immobilier, les prix ont doublé ces quinze dernières années !) a vraiment intérêt de partir, le plus rapidement possible. Sauve qui peut !
e) Dans un avis du 19 septembre 2016, une internaute, qui habite Maisons-Alfort (quartier de la gare) depuis 15 ans, émet une opinion très optimiste :
« Quel changement en quelques années. Mixité sociale réussie. Facilité des transports, à Paris en 10 minutes. Montant des impôts très raisonnable. Activités culturelles suffisantes en fonction de la proximité de Paris. Bords de Marne très agréables (vitesse 30 un peu exagérée). »
Et elle ajoute : « Venant de Vitry-sur-Seine, j’ai retrouvé une ville correspondant à ma culture, à mes attentes, une ville qui me ressemble dans laquelle je me sens « chez moi » et que je vais quitter à regret à la retraite. »
Voilà une internaute heureuse d’habiter dans cette commune. On devine qu’elle n’a jamais été placée en garde-à-vue pendant six mois sur ordre d’un maire-adjoint et d’un employé municipal !
f) Dans un avis du 20 octobre 2016, une internaute (née vers 1950) qui affirme avoir connu Maisons-Alfort dans sa jeunesse émet un avis très nuancé :
« Ma famille est Maisonnaise depuis 1932, j’ai 67 ans, j’ai passé toute ma jeunesse à Maisons-Alfort, j’ai eu l’occasion d’habiter dans d’autres villes donc de comparer et je suis revenue avec plaisir à Maisons-Alfort malgré des changements pas toujours judicieux. Parfois on se demande si les personnes qui prennent des décisions sont à l’écoute des habitants ; beaucoup de construction par des promoteurs, le charme de cette ville est rompu, et surtout l’apport de ces nouveaux logements sans école, crèche supplémentaires. Dommage ».
L’ambiance était-elle plus agréable il y a quarante ans ?
En réalité, les personnes qui prennent des décisions sont « à l’écoute », mais de certains habitants seulement : ceux qui font partie du lobby militaro-judiciaire et qui ont besoin d’une ambiance adaptée à leur angoisses sécuritaires. C’est-à-dire : pas de bistrots qui permettraient de sortir le soir et d’attirer des « intrus » ; couvre-feu après 19h30 (surtout au quartier des Juilliottes, du vendredi 19h30 au samedi 19h30) ; des logements sécurisés par ondes radar pour se coucher de bonne heure ; des supérettes amies à très bas prix pour les courses alimentaires ; la poste ; des commerçants sympathisants et des professions libérales qui « observent les intrus ».
Une telle commune n’a pas besoin d’espaces verts, mais d’immeubles d’habitations sécurisés. La ligne 8 du métro relie directement, sans correspondance, Maisons-Alfort au quartier Balard, où sont désormais regroupées les installations du ministère de la Défense : les salariés de ce ministère peuvent aisément se rendre chez leur employeur.
g) Dans un avis du 26 octobre 2016, une internaute se prononce :
« Ce que j’aime : le marché de Charentonneau, les parcs des bords de Marne, le parc des Hannetons, très familial et sécurisé depuis sa rénovation, la revalorisation réussie du quartier des Juilliottes où de plus en plus de familles s’installent. »
« Ce que je n’aime pas : les gens qui commencent à traîner près du lac en centre ville, l’odeur de levure certains jours de pluie, les crottes de chiens qu’on est obligé de subir a cause des incivils. »
[Nota : cette internaute aurait-elle confondu Maisons-Alfort et Créteil ? Il n’y a pas de « lac en centre-ville » à Maisons-Alfort, mais depuis peu un petit bassin décoratif à côté de l’église Saint-Rémi]
Les crottes de chiens sont inévitables : les retraités de l’armée et de la police aiment promener leurs chiens à toute heure du jour et de la nuit. La surveillance par les commerçants et les ondes radar n’est pas suffisante pour assurer la sécurité de leurs collègues encore en activité, surtout depuis les infractions pénales commises à Charlie Hebdo et au Bataclan.
h) Dans un avis du 26 octobre 2016, une habitante du quartier des Juilliottes est enthousiaste. Elle estime qu’elle a bien fait de s’y installer, malgré les travaux sur la RN 19 au moment où elle a rédigé son avis [et malgré le couvre-feu du vendredi soir au samedi soir ?].
Elle aime « le parc des Hannetons et des cinq sens, le café de la mairie, les bords de Marne, les commerces à proximité, le quartier des Juilliottes depuis que j’y habite car contrairement a une très vielle réputation, c’est un quartier fait pour les familles : écoles, gymnase, conservatoire, médiathèque, parcs, tout y est. La mauvaise réputation vient des gens qui n’y habitent pas. J’ai bien fait de m’y installer. »
[Nota : les « cinq sens » du parc des Hannetons, un nouveau concept ?]
i) Dans un avis du 30 mars 2017, un internaute du quartier des Planètes exprime sa déception. Il constate avec justesse que Maisons-Alfort est une « petite ville à majorité de retraités qui attendent leurs colis de Noël ; si vous ne partagez pas les idées de la municipalité, vous avez droit à rien ! » et il ajoute : « Sincèrement je suis arrivé dans cette ville par hasard et j’en suis reparti complètement rasé. Si vous avez du temps à perdre et aucune ambition pour votre existence, n’hésitez pas, c’est chez vous. ».
Cet internaute a-t-il réussi à quitter Maisons-Alfort ? Les retraités ne sont pas majoritaires : il sont là pour faire diversion. À l’inverse des retraités, les familles avec enfants ne se montrent pas tous les jours, « pour raisons de sécurité », à cause de la profession des parents. Mais elles sont bien là : on voit les photos des bambins tous les mois dans le bulletin municipal.
j) Dans un avis du 31 mai 2017, un internaute estime qu’il y a une « ségrégation sociale entre le centre et les contours de la ville, que l’attitude des élus est condescendante, hautaine et clientéliste. »
Dans la copropriété où je réside, des maires-adjoints sont (ou étaient) copropriétaires, et il est vrai que, lors des assemblées générales de copropriété, on voit bien qu’ils ne sont ni modestes, ni chaleureux, ni ouverts aux opinions d’autrui et aux suggestions, ni favorables aux économies, ni respectueux de la légalité. (Approuver les pièces comptables falsifiées d’un syndic signifie qu’on est complice.)
Un détail significatif : depuis trois ans à peu près, les dates des séances du conseil municipal sont annoncées dans le bulletin municipal et par voie d’affichage ; mais ce n’était pas le cas auparavant.
À Maisons-Alfort, ou bien on s’adapte au système local et à son clientélisme, ou bien on s’en va. Lors de mon arrivée dans la copropriété, en mars 1999, un indigène nous avait accueilli comme suit : « Qu’est ce que vous venez faire ici dans notre immeuble ? Si l’ambiance ne vous convient pas, alors dégagez d’ici ! ».
C’est ça la chaleur humaine de Maisons-Alfort : c’est une commune « où il fait bon vivre », mais seulement pour certains, ceux qui sont « adaptés » au système local et à ses indigènes. Un peu comme en Allemagne, en février 1933 !
Source : site web « www.linternaute.com »
« La Ville projette de réaliser dans le quartier des Juilliottes un nouveau gymnase d’une superficie de 900 m2. »
Le coût du projet est estimé à 2,525 millions d’euros.
source : bulletin municipal n° 455 (juin 2017 – page 22)
Les internautes qui ont eu l’amabilité de donner leur avis ont peut-être remarqué les autres particularités de Maisons-Alfort.
IMPASSE GEORGES GAUMÉ
« (…) La longueur d’une impasse ne devrait pas excéder 25 mètres (…). »
source : société française des urbanistes
Lors de leurs promenades dans Maisons-Alfort, les internautes ont peut-être remarqué les particularités de l’urbanisme communal, les nombreuses coupures urbaines (autoroute A86 ; usines) et les impasses de longueurs variées.
Un exemple significatif : la rue Georges Gaumé. En réalité une impasse de trois cents mètres qui dessert une quinzaine d’immeubles, soit cinq cents logements. L’urbaniste qui a imaginé un tel concept ignorait-il les rudiments de son métier ? Ou avait-il au contraire bien compris les intérêts des indigènes, et exécuté leurs directives ?
Il suffit d’un véhicule placé à l’entrée de cette impasse pour bloquer l’accès des cinq cents logements. Cet inconvénient apparent peut se transformer en avantage si les résidents de l’impasse sont, comme c’est le cas dans cette commune, des comparses des services de sécurité et leurs amis de tout acabit.
RESSORTISSANTS DES PAYS DE L’EST
« Vladimir Poutine et François Hollande sont ainsi convenus d’une « coordination plus étroite » entre les armées des deux pays, ainsi qu’entre les services secrets dans la gestion du dossier syrien. »
source : site web [http://]www.lemonde.fr (article du 20/11/2015 à 06h52)
Les internautes ont peut-être aussi remarqué, ces deux dernières années, l’arrivée dans certains immeubles de Maisons-Alfort (39 rue Médéric – 21/23 rue Victor Hugo – 58 rue Victor Hugo) de ressortissants des pays de l’Est, amateurs de promenades, escortés de leurs chiens (bergers allemands, dobermans). Ce qui expliquerait qu’on entende parler de nombreuses langues étrangères dans le quartier, y compris avenue Blum.
Ces familles sont-elles composées de réfugiés économiques ? Non, d’après leur niveau de vie, comparable à celui des indigènes de Maisons-Alfort. S’agit-il alors de réfugiés politiques ? Non, puisque les associations qui protègent les réfugiés politiques ne parlent jamais d’eux.
Les agents des services de sécurité français, si peu accueillants pour leurs compatriotes piégés par des notaires véreux, tolèrent curieusement la présence de nombreux ressortissants étrangers dans leurs beaux immeubles. Comment expliquer leur présence dans des résidences réservées pour les services de sécurité français, sinon avec l’autorisation des services de sécurité dont les familles résident occasionnellement dans ces immeubles ?
S’agirait-il alors de familles des agents de services de sécurité étrangers, venus résider à Maisons-Alfort, dans le cadre d’accords de coopération liés au bricolage anti-salafiste ?
LIGNES DE BUS DE MAISONS-ALFORT
En ce qui concerne les transports en commun, la commune souhaite une « amélioration du confort des voyageurs, [la] mise en accessibilité de tous les arrêts de bus de Maisons-Alfort (…) ».
source : bulletin municipal n° 456 (été 2017 – page 5)
Parmi les lignes de bus qui desservent la commune de Maisons-Alfort, trois sont remarquables.
La ligne 172 : cette ligne dessert le quartier de Créteil l’Échat, célèbre pour ses habitants tellement pittoresques et ses immeubles de bureaux occupés par des entreprises très liées aux services de sécurité ; à l’heure de pointe du soir, au départ de Créteil l’Échat, entre 17 heures et 18h30, seulement un bus toutes les 25 minutes ; mais vers 22 heures, deux ou parfois trois bus quasiment vides, toutes les trois minutes, arrivent de l’Haÿ-les-Roses.
La ligne 217 : ses composteurs sont souvent allergiques aux « Pass Navigo ».
La ligne 181 : certains jours, le service allégé est appliqué sans préavis ; les voyageurs sont obligés d’attendre sans savoir pourquoi.
PLAQUES D’IMMATRICULATON
« (…) la règle générale de stationnement à Maisons-Alfort est celle du stationnement unilatéral alterné par quinzaine (…). »
source : bulletin municipal n° 456 (été 2017 – page 21)
Désormais, les véhicules français doivent adopter une plaque d’immatriculation de type AB-123-CD, ce qui est avantageux pour les indigènes de Maisons-Alfort. Avant l’entrée en vigueur de cette nouvelle législation, les véhicules étaient immatriculés selon le modèle 123 AB 94, les deux derniers chiffres (ici, 94) étant le code du département afférent au domicile du propriétaire du véhicule.
Mais dans certaines copropriétés de Maisons-Alfort, seulement la moitié des véhicules étaient alors immatriculés conformément à la loi : certains privilégiés étaient dispensés de respecter les textes, pour des motifs liés à leur profession (membres des services de sécurité, etc.).
CARTE SCOLAIRE
L’école maternelle Édouard HERRIOT, située rue du 11 novembre 1918, a été inaugurée le 20 mai 2017.
source : bulletin municipal n° 455 (juin 2017 – page 5)
Le chantier de BNP PARIBAS, à l’angle de la rue Médéric et de l’avenue de la République, a entraîné la mise en place d’un passage piéton provisoire qui relie la rue Médéric à l’avenue Léon Blum. Il a été possible ainsi de découvrir les particularités de la carte scolaire locale : grâce à ce passage pour piétons, les habitants du quartier des Juilliottes escortent leurs rejetons vers les écoles du quartier de la mairie ; au même moment, les habitants du quartier de la mairie accompagnent leur progéniture vers les écoles du quartier des Juillottes.
Maisons-Alfort favorise la marche à pied des enfants scolarisés dans la commune : c’est pourquoi il y fait bon vivre.