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Extraits – revue de presse

02/10/2017 / Mal mystérieux à l’ambassade des États-Unis

L’ambassade des États-Unis à La Havane (Cuba) a annoncé que depuis fin 2016 ses employés se plaignaient d’un mal mystérieux qui se caractérise par des maux de tête, des nausées, des étourdissements, mais aussi des pertes d’audition, des vertiges, des troubles du sommeil.

En attendant une explication plus détaillée, les problèmes sont attribués provisoirement à des « vagues d’ultrasons », et les personnes concernées ont été autorisées à retourner dans leur pays.

Source : ¾ journal « Le Monde » daté du 1er-2 octobre 2017 (page 5)

            ¾ Le Monde diplomatique (février 2017 – page 16)

            ¾ Le Monde diplomatique (décembre 1999 – page 19) 

La liste des symptômes est-elle exhaustive ? Ce « mal mystérieux », qui n’est peut-être pas si mystérieux que ça, ressemble beaucoup à ce que les médecins du travail appelaient en 1975 le « syndrome des hyperfréquences », qui affecte entre autres les personnels des aéroports. (Mais il est vrai que les ultrasons et les infrasons peuvent eux aussi créer des problèmes.)

En décembre 1999, dans la presse écrite française, un article présentait déjà ce que l’on appelait alors les « armes non létales ». On y apprenait que les hyperfréquences et les ondes radar provoquent (entre autres) des maux de tête, des nausées, des étourdissements, des pertes d’audition temporaires, des vertiges, des troubles du sommeil. En février 2017, dans la même publication mensuelle, un autre article faisait le point sur la pollution électromagnétique et le « syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques ».

En 2017, les immeubles qui abritent des hautes personnalités sont de plus en plus souvent sécurisés par des ondes radar. Il serait amusant d’apprendre un jour ou l’autre que les soucis du personnel de cette ambassade américaine sont en définitive causés par leur propre technologie de protection de l’immeuble.

Heureusement, à Cuba vingt-et-une personnes sont affectées par ce problème : lorsqu’une seule personne se plaint, on l’accuse de « délire de la persécution » (selon le diagnostic posé en mars 2004 par un farceur médical de l’A.P.-H.P. et un autre de la ZAC des Maréchaux).

Les personnes intéressées par le « mal mystérieux » de Cuba sont invitées à venir résider avenue Blum, où elles pourront constater par elles-mêmes que la torture électromagnétique est une réalité, et qu’elle est financée avec l’argent des contribuables, afin de préserver le petit confort des prétendues unités d’élites domiciliées à Maisons-Alfort.

20/08/2017 / Médecins et conscience bioéthique

L’auteur de l’article estime qu’il faut se remémorer les leçons qu’on peut tirer du procès de Nuremberg (9 décembre 1946 – 19 août 1947) :  le rôle d’un médecin serait de « (…) protéger l’autre de ce qui menace son existence, (…) de l’accompagner avec respect pour atténuer ses douleurs » ; l’éthique du médecin « relève d’une exigence personnelle en matière de dignité, d’intégrité et de loyauté (…) ».

Source : journal « Le Monde » daté du 20-21 août 2017 (page 27) 

L’éthique du médecin est un thème important, et toujours d’actualité. Cet article a-t-il été lu par les médecins salariés de l’ A.P.-H.P. ?

Est-il normal qu’un hôpital de l’ A.P.-H.P., dont le fonctionnement est financé par les contribuables, rémunère des nazillons qui acceptent d’être complices d’une garde à vue de six mois (la séquestration est  une infraction pénale), de rédiger des actes médicaux de complaisance (le faux en écriture est une infraction pénale), d’injecter de force des produits toxiques à des cobayes humains, comme le faisaient les médecins allemands de 1939 à 1945 ?

24/05/2017 / Agence Nationale des Fréquences (Maisons-Alfort)

Dans le bulletin municipal de mai 2017, on apprend que l’Agence Nationale des Fréquences (A.N.F.R.) a son siège social à Maisons-Alfort, au 78 avenue du Général de Gaulle, « où elle emploie près de 200 personnes sur un effectif total de 310 agents environ ».

Avec étonnement, on apprend aussi qu’elle « coordonne l’implantation sur le territoire national des stations radioélectriques de toute nature » et qu’elle « veille au respect des valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques ».

Source : Bulletin municipal – n° 454 (mai 2017 – page 7) reçu le 24/05/2017 

Comme toujours, le bulletin municipal présente la réalité avec un grand optimisme. Les courriers qui m’ont été adressés le 20 décembre 2000 et le 24 avril 2001 par l’A.N.F.R. démontrent au contraire que l’Agence Nationale des Fréquences refuse de neutraliser les stations radioélectriques qui équipent clandestinement les copropriétés où sont logés les employés des services de sécurité. À Maisons-Alfort, on se moque éperdument de la santé des populations civiles : la priorité, c’est le confort des salariés du lobby sécuritaire.

 

04/02/2017 / La pollution invisible des ondes électromagnétiques

« La pollution électromagnétique de la société de l’information est invisible et inodore », mais les conséquences sur la santé des êtres humains est mal connue, expose un professeur de droit dans cet article.

Les études réalisées jusqu’à présent s’efforcent surtout de cerner les risques d’apparition de cancers. Il existe cependant un « syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques », aussi appelé « électro-hypersensibilité » (E.H.S.), qui résulte d’une exposition durable à des niveaux élevés d’émissions. Les personnes exposées suffisamment longtemps à des niveaux élevés deviennent ensuite vulnérables à des niveaux d’émissions beaucoup plus faibles. La vie quotidienne devient alors un supplice pour ces personnes.

Selon cet article, l’Agence nationale des fréquences (A.N.F.R.) aurait été chargée de recenser « les lieux où le niveau d’exposition du public aux champs électromagnétiques dépasse substantiellement celui généralement observé au niveau national ».

Source : ¾ Le Monde diplomatique (février 2017 – page 16)

            ¾ Environmental Health (vol. 30, n° 4, Londres, 2015) 

Comme le montrent les courriers datés du 20 décembre 2000 et du 24 avril 2001, le  « recensement » confié à l’A.N.F.R. ne concerne pas la commune de Maisons-Alfort, où se trouve pourtant le siège social de l’A.N.F.R., et c’est vraiment regrettable.

Il est encore plus regrettable que les lois en cours d’élaboration, dans le but de protéger la population qui réside en France par application du principe de précaution, ne seront pas applicables aux installations spécifiques du lobby militaro-policier, puisque ces équipements sont protégés par le secret-défense, surtout à Maisons-Alfort.

On devine qu’à Maisons-Alfort, la ville où il fait bon vivre, la fameuse commune où les services de sécurité respectent scrupuleusement la légalité (surtout avenue Blum), aucun citoyen français ne serait exposé pendant seize ans à des niveaux élevés d’émissions, de manière délibérée, avec la complicité de tous ses voisins. (De même, les gardes à vue de six mois et les coups de poing au thorax sont inconnus à Maisons-Alfort).

31/08/2016 / Canon électromagnétique

Déjà installé sur plusieurs véhicules de l’armée américaine, un canon électromagnétique peut émettre des ondes à une fréquence de 95 gigahertz, qui font vibrer les molécules d’eau des organismes humains, et provoquent ainsi une sensation de brûlure. La douleur cesse, paraît-il, lorsque l’individu n’est plus exposé au faisceau.

(Cet appareil aurait-il été testé sur des cobayes humains?)

Source : Revue « 01.net » n° 848 (du 31/08/2016 au 13/09/2016 – pages 28 à 31) 

De telles choses sont bien sûr inimaginables à Maisons-Alfort, la ville où il fait bon vivre, la fameuse commune où les services de sécurité respectent scrupuleusement la légalité.

Plus que jamais, les militaires de tous pays protègent les droits fondamentaux de leurs compatriotes.

25/11/2015  / Interview d’un ministre

Lors d’une interview accordée à une station de radio, le ministre de la Justice, Mme Christiane TAUBIRA, a déclaré que les auteurs des attentats du 13 novembre 2015 « se sont placés en dehors de l’humanité ».

Source : France Info (mercredi 25/11/2015 à 7h45) 

Ceux qui pratiquent quotidiennement et impunément la torture électro­magnétique depuis 1999, grâce au secret défense et à l’argent des contribuables, font-ils partie de l’humanité ?

 

 

 

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