Depuis le 26 mars 2018, plusieurs pays occidentaux (États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Pologne, France,…) ainsi que l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (O.T.A.N.) ont décidé d’expulser des diplomates russes. En retour, la Fédération de Russie a expulsé plusieurs diplomates des pays concernés.
Neuf États de l’Union européenne (Autriche, Bulgarie, Chypre, Grèce, Luxembourg, Malte, Portugal, Slovaquie, Slovénie) ont décidé de ne pas participer à l’action concertée des autres pays occidentaux.
Près de 300 personnes ont été expulsées de part et d’autre. Selon les médias, des représailles d’une telle ampleur ne s’étaient jamais produites, même avant décembre 1989 (à l’époque de la « guerre froide »).
Sources (site web) :
[https://]www.tdg.ch (article du 31/03/2018 à 11h55)
[https://]www.courrierinternational.com (article du 30/03/2018)
[https://]www.20minutes.fr (article du 29/03/2018 à 19h45)
Dans le Val-de-Marne, pas d’expulsion pour les employés des services de sécurité soviétiques, en villégiature permanente au n° 21-23 rue Victor Hugo et au n° 39 rue Médéric avec leurs familles et leurs enfants nés en France (vers le 28 juillet 2017).