Dernièrement, trois affaires d’espionnage ont attiré l’attention des médias.
Jeudi 24 mai 2018, l’une d’elles aurait été évoquée lors d’une émission télévisée : deux agents de la D.G.S.E. affectés en Chine ont été inculpés le 22 décembre 2017 et placés en détention provisoire.
Une autre oppose la France à la Russie : quatre agents russes ont quitté la France en mars 2018.
[Les articles consultés sont évasifs sur la nature exacte des faits. La troisième affaire n’est pas présentée.]
Sources (sites web) :
[https://]www.huffingtonpost.fr (article du 25/05/2018 à 12h19)
[http://]www.lepoint.fr (article du 25/05/2018 à 12h26 citant une dépêche de l’A.F.P.)
[https://]www.lemonde.fr (article du 26/05/2018 à 16h45)
[https://]www.defense.gouv.fr (communiqué de presse)
En France, on incrimine des espions ?
C’est à peine croyable. Quel est l’intérêt d’emprisonner ou d’expulser des espions, alors que des agents d’États étrangers sont invités à résider dans des casernes de la D.G.S.E. et de la D.G.S.I., au n° 39, au n° 21-23, au n° 58, suite aux récents accords entre la France et l’Union soviétique ?