En juillet 2024, lors d’une tournée de leur équipe dans plusieurs villes d’Amérique du Sud, deux rugbymen français avaient été accusés de « viol aggravé » par une jeune femme de 39 ans. (Les faits ont eu lieu en Argentine, le 7 juillet 2024.) D’abord placés en détention provisoire, les deux rugbymen ont été ensuite autorisés à rentrer en France, l’évolution de l’enquête ayant permis d’opter pour cette solution.
Mardi 10 décembre 2024, le tribunal de Mendoza a relaxé les deux rugbymen. Les résultats de l’enquête ont permis à la juridiction de constater que l’accusation peut être qualifiée de mensongère.
Dans un communiqué, la Fédération française de rugby a annoncé son soulagement et sa satisfaction.
Mardi 10 décembre 2024, l’avocate de la partie civile a fait appel.
(Le 18 février 2025, le non-lieu a été confirmé en appel.)
Sources (site web) :
- [https://]www.lacroix.com (article du 10/12/2024 à 22h33)
- [https://]www.france24.com (article du 10/12/2024 à 22h41)
- [https://]www.france3-regions.francetvinfos.fr (article du 11/12/2024 à 09h08)
- [https://]www.ffr.fr (communiqué du 10/12/2024)
- [https://]www.rugbyrama.fr (article du 10/12/2024)
Accuser mensongèrement, c’est bien.
Mais dans certains pays, la justice est capable de démêler le vrai du faux. C’est mieux.
À Maisons-Alfort, les agents de l’État domiciliés dans la commune et leurs amis des médiations pénales ont le droit de faire des faux témoignages et de faire circuler des rumeurs désobligeantes sur toute personne de leur choix.
Souhaitons que la justice française saura se montrer à la hauteur, et demandera enfin des comptes à Mme Suzanne GLORIEUX, pseudo-médecin du travail (aujourd’hui retraitée) du conseil général de la Seine-Saint-Denis et à Mlle Valérie GILA, pseudo-technicien territorial, spécialisée dans les bistrots de pacotille.
