Vendredi 5 janvier 2024, vers 19h15, une petite surprise : la télécommande d’accès au parking ne fonctionne plus. Au bout de dix minutes, après plusieurs tentatives infructueuses, il faut quitter la voiture pour faire vérifier le bip par les gardiens (à la loge du n°8). Deuxième surprise : la télécommande fonctionne. Retour à la porte d’entrée du parking et troisième surprise : le bip ne fonctionne plus, il faut patienter dans l’obscurité, pendant que quelques farceurs du n° 14 (avenue Léon Blum) viennent ricaner à côté de la voiture. Vers 19h40, quatrième surprise : la porte du parking s’ouvre toute seule.
Le blocage temporaire de l’ouverture de la porte ne provient pas de la pile du bip, puisque ce bip fonctionne à nouveau, de façon sporadique, depuis cet incident du 5 janvier 2024. Si la télécommande fonctionne un jour sur deux, depuis 2001, le défaut est causé par autre chose. Peut-être par un sympathisant de l’administration pénitentiaire ?
Cette nuisance qui persiste depuis plus de vingt ans, sans que personne ne soulève jamais le problème en assemblée générale de copropriété, est particulièrement gênante : on ne sait jamais si la porte du parking va s’ouvrir ou pas. Le système utilisé initialement (un badge en plastique à introduire dans un lecteur de badge) n’est jamais tombé en panne. Les innovations technologiques sont inutiles, si elles ont pour conséquence principale d’entraîner une dégradation du service rendu. Le conseil syndical et le syndic devraient accepter cette évidence, même s’ils exécutent les directives de l’administration pénitentiaire (après validation par l’assemblée générale).
Il reste à souhaiter que cette nuisance cesse définitivement, puisqu’on demande aux résidents de payer les charges de copropriété.
