Le bulletin municipal de mai 2014, diffusé à partir du 22 mai, présente enfin l’orchestre de la gendarmerie mobile à ses lecteurs. L’article est illustré par plusieurs photographies, dont la plus réussie est en page de couverture du bulletin.
Grâce à ces photographies, j’ai pu reconnaître le visage de plusieurs de mes voisins, aperçus à l’assemblée générale de copropriété. Les vantardises des intéressés se confirment : la copropriété du Clos Saint-Rémi est bien une résidence banalisée. Il n’est plus nécessaire d’écrire à ce sujet au général Denis FAVIER, ou au général Jacques MIGNAUX, ou au général Roland GILLES.
Reste alors à élucider l’un ou l’autre mystère :
- pour quelle raison le nouveau code de déontologie de la gendarmerie nationale n’a-t-il pas été diffusé aux gendarmes qui résident dans l’immeuble et qui apportent leur soutien au syndic, ainsi qu’au conseil syndical ?
- pour quelle raison ma voiture (celle qui est bloquée dans le parking souterrain depuis juin 2007) a-t-elle été régulièrement vandalisée dans le parking souterrain, clos et surveillé, de l’immeuble ?
- pour quelle raison les documents comptables, manifestement très artistiques, présentés chaque année à l’assemblée générale (par le syndic et le conseil syndical) sont-ils approuvés par les gendarmes présents ou représentés ?
- pour quelle raison faut-il payer 20 638,70 euros pour un bip de parking lorsque l’on n’est pas gendarme ?
- etc.