Mercredi 26 décembre 2018, l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR) a diffusé une notice destinée à informer la population de Maisons-Alfort : les opérateurs de téléphonie mobile y poursuivent le déploiement des réseaux de très haut débit (technologie dénommée « 4G »), ce qui peut affecter la réception des chaînes de télévision.
Mais l’ANFR ne s’occupe pas de démanteler les émetteurs hertziens clandestins, comme celui qui émet au n° 6 de l’avenue Léon Blum.
Les habitants du n° 6 ont moins de chance que les employés de l’ambassade des États-Unis à La Havane (Cuba), qui se plaignaient en 2016 d’un « mal mystérieux » (caractérisé par des maux de tête, des nausées, des étourdissements, mais aussi des pertes d’audition, des vertiges, des troubles du sommeil) et qui avaient été relogés ailleurs. En France, la torture électromagnétique est une réalité : elle est financée avec l’argent des contribuables, afin de préserver le petit confort des prétendues unités d’élites domiciliées à Maisons-Alfort, alors qu’il y a quatre millions de chômeurs en France, dont certains ne sont pas indemnisés.