Maisons-Alfort est la commune « où il fait bon vivre ». Mais aussi la commune où les dégâts des eaux sont fréquents.
Dimanche 28 janvier 2018, vers 20h10, devant l’entrée du n° 6, la veuve P. se promène avec une copine, malgré la bruine. Elle réside de temps à autre dans l’immeuble (2ème étage, au fond à gauche).
Elle dispose dans le sous-sol d’un box de parking, qui est traversé par un tuyau d’évacuation d’eau. Peu après mon arrivée dans l’immeuble (au printemps 2000, sans doute), ce tuyau s’était descellé, ce qui avait entraîné l’apparition d’une flaque d’eau dans son box de parking.
Que faire dans un tel cas ? Par exemple, faire réparer le tuyau défectueux. On aurait pu envisager cette solution. La veuve P. avait plutôt demandé à sa compagnie d’assurances de m’envoyer un petit courrier, au cas où j’accepterais de « reconnaître mes torts », puisque ce box « est situé à la verticale de [mon] appartement ». Il avait donc fallu faire une lettre recommandée à cet assureur, afin de mettre les choses au point.
Après quoi, je n’ai plus jamais entendu parler de ce « dégât des eaux » qui était plutôt une tentative d’escroquerie, mais qui, déjà, était annonciateur des véritables dégâts des eaux qui allaient survenir par la suite dans ma cave (à quatre reprises, en 2000 et 2001, suite à l’arrivée d’un nouvel occupant au rez-de-chaussée du n° 6), puis dans mon logement (en mai 2002, puis en janvier 2008). Sans compter les petites dégradations, qui ne provoquaient que des écoulements d’eau limités ne nécessitant pas l’intervention d’un plombier ou d’un assureur. (Il fallait bien sûr faire la réparation soi-même.)