Les 18 et 19 juillet 2017, un camion de déménagement a emporté les meubles d’un indigène du n° 4 (rez-de-chaussée), qui quitte la copropriété, appelé à d’autres fonctions plus avantageuses.
Dès le 20 juillet 2017, un nouvel occupant a déjà pris possession des lieux. À Maisons-Alfort, la commune « où il fait bon vivre », les logements ne restent pas vacants plus de vingt-quatre heures.