Actuellement, les bouteilles en plastique récupérées sont brûlées pour fournir de l’énergie, ou mises en décharge.
Dans plusieurs pays sont menées des recherches afin de découvrir des « enzymes mangeuses de plastique ». Une découverte a été présentée en avril [2018] par l’Académie américaine des sciences. Des laboratoires français, associés à des entreprises, ont découvert un procédé qui permet de décomposer le polyéthylène téréphtalique.
Une application industrielle serait possible dès 2021 (dans trois ans).
Source :
journal « Le Figaro » daté du 21 juillet 2018 (page 2)
Sites web :
– [https://]www.la-croix.com (article du 24/04/2018 à 16h37)
– [https://]www.sciencesetavenir.fr (article du 20/04/2018 à 11h37)
– [https://]www.ouest-france.fr (article du 17/04/2018 à 14h35)
– [https://]www.latribune.fr (article du 04/04/2018 à 07h30)
– [https://]www.carbios.fr
Les bouteilles en plastique non récupérées finissent leur parcours dans les océans, où elles présentent un danger pour les poissons et les mammifères marins (par ingestion directe) et les êtres humains (après scission, les micro-particules reviennent sur les continents par les eaux de pluie).
Grâce à cette invention, il serait possible de préserver l’environnement, tout en créant des emplois.